Analyse 2018 – 3/15 : “Enfants malades et scolarité, le parcours du combattant en plus!”

Autour de la maladie ou de l’accident, les inquiétudes, les traitements, les déplacements et de toutes les situations que vit l’enfant, se pose la question de la scolarisation. L’enfant malade est aussi un élève. Un enfant qui est hospitalisé peut continuer ses apprentissages et, dans tous les cas, il est en obligation scolaire dès l’âge de 6 ans. Pas toujours simple ! Garder les liens, retourner à l’école, passer les examens, retrouver sa place dans son école d’origine, etc.

 

Ce n’est que lorsque le parent ou le jeune est confronté à cette réalité qu’il prend la mesure du problème. Certaines écoles tiennent compte de ces élèves absents de la classe et collaborent pour que la transition se passe bien… d’autres pas.

 

Et pourtant, continuer ses apprentissages, rester connecté avec les autres élèves, les professeurs et la structure scolaire peut se révéler être un moyen pour surmonter les épreuves. Les maladies et diagnostics de plus en plus variés et les enfants orientés vers l’enseignement de Type 5, ont changé la donne : trouve-t-on une place pour chacun dans ce système de scolarisation ?

 

Concrètement, pourquoi donc les acteurs de terrain voient-ils arriver de plus en plus de jeunes et de plus en plus de très jeunes enfants souffrant de troubles psychiques tels que les phobies scolaires ?

 

L’école aurait-elle également besoin d’un bon docteur ?

 

Une analyse s’impose.

 

Lire l’analyse dans son intégralité :”Enfants malades et scolarité, le parcours du combattant en plus !”, une analyse de France De Staercke.

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