Question d’identité, de pronom

Depuis quelques années, un nouveau questionnement et de nouvelles pratiques émergent dans les milieux militants et en dehors : le choix de son pronom et la demande d’utiliser ce même pronom par les personnes de son entourage proche ou moins proche.


Au-delà des implications grammaticales que cela implique, il serait intéressant de se pencher sur la racine de ce questionnement en tentant, dans un premier temps, d’y voir plus clair sur des sujets tels que les différences entre sexes, orientations sexuelle et/ou romantique, identité de genre et expression de genre. Rajouté à cela, le genre grammatical et la question de la binarité ou non-binarité. Cette thématique a été particulièrement mise en lumière avec l’arrivée fracassante du pronom « iel » dans le dictionnaire Le Robert en 2021 avec son lot de « enfin » et de « c’était mieux avant ».


Au-delà d’un enjeu grammatical, quelles seraient les implications d’une telle utilisation sur la santé mentale et le bien-être des personnes concernées ? Est-ce que cette utilisation ne concerne que les pronoms ou serait plus vaste en englobant les prénoms et surnoms également ? Et enfin, comment l’École pourrait-il accueillir ce changement dans les pratiques pour l’intégrer dans ses pratiques scolaires de façon transversale ?


Autant de questions qui seront approfondies dans cette analyse, alors bonne lecture !

Une analyse FAPEO de Daphné Renders à découvrir ci-dessous :

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