Analyse 2018 – 7/15 : “Je m’ennuie, tu t’ennuies, il s’ennuie, nous nous ennuyons… À l’école aussi ?”

Comme un appel à arrêter le temps et les activités de nos vies trépidantes, la campagne « Laissons une petite place à l’ennui » de Yapaka nous invitait ces derniers mois à pratiquer l’ennui. Une pause à s’offrir dans cette société d’intense performance ; nécessaire, oui ! Et certainement indispensable !

 

Nos enfants s’ennuient ? Est-ce un problème ou une belle opportunité ? Les capsules de sensibilisation de la campagne Yapaka évoquent des pistes de créativité ; au départ d’un sentiment plutôt désagréable, nous sommes emmenés vers une certaine légèreté et nous voilà connectés avec nos capacités d’imaginer.

 

Mais l’ennui, qu’est-ce que c’est ? Un sentiment, une sensation, un temps d’arrêt essentiel au développement de l’enfant, une pause indispensable pour faire jaillir l’imagination ? Ou encore un signal pour exprimer tout autre chose ?

 

S’ennuyer à la maison, c’est une chose, mais qu’en est-il à l’école ? Imaginez que votre enfant l’éprouve en classe. Pour certains élèves, la classe est un long, très long moment à passer, à être là, assis, obligés de s’intéresser à des choses qui n’intéressent pas et qui n’ont pas de sens à leurs yeux …ni à ceux des profs non plus parfois.

 

On parle peu de l’ennui à l’école, le sujet serait-il tabou ?

 

Mais, ça arrive, et pour mille et une raisons.

 

Ennuyons-nous ensemble…juste un moment.

 

Lire l’analyse dans son intégralité :“Je m’ennuie, tu t’ennuies, il s’ennuie, nous nous ennuyons… À l’école aussi ?”, une analyse de France De Staercke.

Rechercher sur le site de FAPEO