Analyse 2015 – 11/15. L’ÉCOLE, UN CASSE-TÊTE POUR LES FAMILLES MONOPARENTALES ?

Les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent un tiers des familles à Bruxelles, en 2014. Ces familles, pour la plupart gérées par des femmes, ont en grande partie un niveau de précarité important.

L’image classique de la famille « papa-maman et les deux enfants » tend donc à se modifier dans les faits. Est-ce que les politiques sociales en tiennent compte ? Est-il pertinent de se baser uniquement de la situation familiale dans les mesures sociales alors qu’elle semble fortement liée au revenu du ménage? Toutes les familles monoparentales ne vivent pas dans la précarité et par ailleurs des familles biparentales peuvent aussi avoir des fins de mois difficiles.

Nous essayerons de comprendre dans quelle mesure l’appartenance à une famille monoparentale entraine un risque plus important de précarité et quels sont les effets sur la scolarité des enfants.

Lire l’analyse dans son intégralité : «  Monoparentalité et école », une analyse de Flore Lecolier.

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